Au bout, tout au bout de la péninsule de Samana existe encore des lieux incroyables, un village de pêcheurs où la vie est tranquille et où le tourisme ne fait pas encore trop pression. C'est Las Galleras.
Pour y aller, trois heures de guagua, deux changements, des arrêts toutes les cinq minutes pour charger les bananes et les enfants et tout avance, doucement, au rythme tropical dominicain.
Accueillies dans ce village par Juan et Lolo, deux hôtes qui vivent ici depuis plus de trente ans qui ont crée une école et des gîtes. Un ecolodge aussi,
Une cabane perchée dans un arbre où nous avons passé le weekend. A peu près à 100 m de la mer, bercées par le bruit des vagues.
Les weekend ont du bon quand on trouve le courage de braver la chaleur et la distance. Ça sent presque les vacances et je comprends qu'on puisse y voir l'image d'une destination paradisiaque.
La carte postale animée, ça fait du bien de temps en temps.
Ici sont répertoriées les plus belles plages de l’île, et même une qui ferait partie des dix plus belles du monde.....
La vie y est douce, balade au pays des tortues, petites mangues du soir pour anticiper le petit déjeuner
